Malgré leur aspect et leur couleur, ces bouchons ne sont pas en liège mais en matière synthétique. Les cavistes préfèrent souvent employer le terme de « résine », moins péjoratif, mais ne nous y trompons pas, il s’agit bel et bien de plastique issu de l’industrie pétrochimique. La malhonnêteté des fabricants les pousse néanmoins à imiter l’aspect du liège, alors qu’ils sont les premiers à dénigrer ce matériau naturel et renouvelable qui a fait ses preuves depuis des siècles. Le plastique ne s’assumerait-il pas ? N’oubliez pas qu’acheter préférentiellement des vins bouchés avec du liège, c’est participer indirectement à la préservation de la forêt méditerranéenne, à sa protection contre les incendies et à la lutte contre le réchauffement climatique.
Un petit truc pour identifier un bouchon, le brûler : si ça sent le plastique, c’est que ça en est !
Au-delà du traditionnel bouchon, il faut aussi souligner que le liège est employé en quantité très faible, mais parfois irremplaçable dans de nombreux domaines. Les produits, après transformation, sont principalement destinés aux activités industrielles suivantes :
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